Pourquoi la victime doit-elle prouver qu’elle est victime ?
Une fois que l’assurance, le Fonds de Garantie ou le tribunal ont reconnu que la victime peut être indemnisée de ses préjudices, la victime doit apporter, par tous moyens, la preuve de ses préjudices.
Malgré toute sa souffrance, le retentissement de son accident sur sa vie personnelle, professionnelle, ses séquelles et sa vie bouleversée, la victime ne sera pas indemnisée tant qu’elle n’a pas prouvé avoir subi une importante perte de salaire, qu’elle ne peut plus faire telle ou telle activité sportive, qu’elle a dû être aidée par sa famille après l’accident ou l’agression, qu’elle n’arrive plus à reprendre son travail ou n’a pu bénéficier d’une promotion à cause de ses nombreux arrêts de travail.
Cela est difficile à vivre pour la personne qui a subi un dommage, lui laissant l’impression d’être à nouveau violentée, malmenée, que ses propos sont remis en cause.
Si la victime doit se démener pour justifier que ses demandes sont légitimes, c’est parce que le droit français fait peser sur elle la charge de cette preuve. Il ne suffira pas de dire que les arrêts de travail sont causés par l’accident ou l’agression pour être indemnisé de pertes de salaire. Il ne suffira pas de justifier de ses pertes de salaire pour être indemnisé des pertes de primes habituellement versées par l’employeur. Il ne suffira pas de produire un unique bilan comptable pour être indemnisé d’une baisse de chiffre d’affaires.
Tout est affaire de preuves, factuelles, objectives, précises et vérifiables. A défaut, la victime s’expose à une indemnisation limitée.
Le rôle de l’avocat est de rassembler ces éléments de preuve, de comprendre la situation personnelle et professionnelle de son client et l’incidence de l’accident sur sa vie.
Si l’avocat a l’habitude de défendre des victimes de dommages corporels, il saura orienter ses questions, ses recherches auprès de chaque client et lui demander les pièces qui permettront d’optimiser son indemnisation.
Si la victime doit prouver qu’elle subit des préjudices, c’est à l’avocat de l’accompagner, la diriger et lui expliquer comment construire son dossier pour permettre une indemnisation intégrale.
Malgré toute sa souffrance, le retentissement de son accident sur sa vie personnelle, professionnelle, ses séquelles et sa vie bouleversée, la victime ne sera pas indemnisée tant qu’elle n’a pas prouvé avoir subi une importante perte de salaire, qu’elle ne peut plus faire telle ou telle activité sportive, qu’elle a dû être aidée par sa famille après l’accident ou l’agression, qu’elle n’arrive plus à reprendre son travail ou n’a pu bénéficier d’une promotion à cause de ses nombreux arrêts de travail.
Cela est difficile à vivre pour la personne qui a subi un dommage, lui laissant l’impression d’être à nouveau violentée, malmenée, que ses propos sont remis en cause.
Si la victime doit se démener pour justifier que ses demandes sont légitimes, c’est parce que le droit français fait peser sur elle la charge de cette preuve. Il ne suffira pas de dire que les arrêts de travail sont causés par l’accident ou l’agression pour être indemnisé de pertes de salaire. Il ne suffira pas de justifier de ses pertes de salaire pour être indemnisé des pertes de primes habituellement versées par l’employeur. Il ne suffira pas de produire un unique bilan comptable pour être indemnisé d’une baisse de chiffre d’affaires.
Tout est affaire de preuves, factuelles, objectives, précises et vérifiables. A défaut, la victime s’expose à une indemnisation limitée.
Le rôle de l’avocat est de rassembler ces éléments de preuve, de comprendre la situation personnelle et professionnelle de son client et l’incidence de l’accident sur sa vie.
Si l’avocat a l’habitude de défendre des victimes de dommages corporels, il saura orienter ses questions, ses recherches auprès de chaque client et lui demander les pièces qui permettront d’optimiser son indemnisation.
Si la victime doit prouver qu’elle subit des préjudices, c’est à l’avocat de l’accompagner, la diriger et lui expliquer comment construire son dossier pour permettre une indemnisation intégrale.